Pourquoi y en
a-t-il trois plutôt qu’une ?
Nathan Smith @NateSmithSNF
"And thus he shall bring salvation to all those who shall believe
on his name; this being the intent of this last sacrifice, to bring about the
bowels of mercy, which overpowereth justice, and bringeth about means unto men
that they may have faith unto repentance."
-Alma 34:15
Traduction
automatique :
" Et
ainsi il apportera le salut à tous ceux qui croiseront sur son nom
; ceci étant l'intention de ce dernier sacrifice, d'amener les entrailles de la
miséricorde, qui surchargent la justice, et bringeth sur les moyens aux hommes
qu'ils peuvent avoir la foi à la repentance. "
-Alma 34:15
D'abord la
traduction automatique a fait un défaut heureux: "shall believe"
devenu "croisereront" (correcte:"croireront). Heureuse rencontre
de l'un et de l'autre (NOUS) sous le nom du "dernier sacrifié" -et
non pas p.ê. du "sacrifice dernier/final"- Point autour d'un rituel
animal!
+dont les
"triples", "entrailles", "bowels" (qu'on brulait,
consumation sacrificielle juive ou Pagan). "Entrailles de
Miséricorde" (sémantique "métaphorique" du Passage de l'ancien
sacrifice au "dernier"). Métaphore effacée pour devenir "offrant
Matrice -entrailles- de Matricielle"!
Donc ce qu'on
écrit et lu avant, au début de chaque Sourât (dans le Côran), de prière, de
passage à l'acte des musulmans "Bismil lahi rrahman ir Rahim"
("Au Nom de Matrice et Matricielle" -"Appel"; trad. d'A. Chouraqui).
Se fraterniser=se Pacifier sous la référence au Tiers/ Témoin
Du reste, Témoin
en grec veut dire Martyr, et exactement même valeur sémantique qu'en Arabe: "Shakhide"
(Temoin et Sacrifié -"şehid" en Turc actuel). Donc
"Crucifié" en français n'a pas de valeur de "témoin" du Nom
duquel on se pacifie; mais La Croix/Croiser=Se Croiser uns & autres, Si!
Il ne s'agit
donc pas une action jugeant ou légiférante, ou quoique ce soit, qui
"balancerait" un état de justice divisée/ partagée entre Cesare
(Humain) & Divin, mais la "fortification" (overpowering) de Dikè,
Füge (Liens, attachements) entre les humains, surtout, des
extra-religionnaires!
Faut-il
souligner que de « Rahman et Rahim », de deux attributs du Divin (al-Ilah),
« rahim » est l’utérus ou « matrice » très générale qu’on
ne peut faire stagner ou stationner pour trop longtemps dans quelques déesses comme
Isis-Osiris,
+Mais je ne
peux m’empêcher d’ajouter, par analogie au mot actuel turc un peu changé, « kardeş »
(frères-et-sœurs, mot invariable) qui vient d’archaïque et inusité mot trop claire
pour les oreilles turques « karındaş » (littéralement, « ceux/celles
qui vient de la même ventre/matrice),
+Formellement
comme « arkadaş » (friend/ camarade/ ami) qui pointe l’autre adjectif
« matricielle » (Rahman), sans présupposer nullement un lien de sang,
mais un appel ou rappel de la « fraternité » originaire depuis Caën
et Abel au moins : Difficile mémoire meurtrie !...
Et
ajoutons-nous, Dikè d’Anaximandre traduit par Fuge (joint) allemand par
Heidegger, pour penser l’avant et l’après la dis-jonction entre justice divine
et humaine, nous incite à penser une réligion qui re-ligare et re-ligere,
joignant et rassemblant sous le spectre (sans sceptre) si varié mais Un, du Nom
Divin, comme son Ombre ;
car chaque
fois que nous créditons une instance sous ce nom, soyons-nous de ceux qui ne la
dis-créditent pas comme une « monnaie » courrante, comme OMBRA NOMEN
MAGİSTRA (Ombre d’un Grand Nom ; expression usée par Marx pour signifier
la valeur d’échange de l’argent,
dont la
croyance à la référence ultime, à la valeur de sa valeur, lie et divise partes extra partes, tant que DEMEURERONT les hommes sur terre divisée par langues et
contrées différentes et SURTOUT différantes
(comme Khôra,
rassemblant les mêmes, et par la même action, divisant les autres, Timée),
sans la volonté explicite divine n’aurai pas
été divisées ou babélisées contre l’orgueil de présomption de tout com-prendre
et de con-tenir ensemble de l’humain, dans un « Tour d’Ivoire » qui n’existera
p.ê. jamais, ni le « Temple de Salomon » d’ailleurs, dont la démolition
est un autre signe divin contre le même maux :orgueil.
Quant à « last »
or final » sacrifié, on ne peut l’espérer qu’en craignant (« je
craigne que ce ne serait pas la fin », «I’ affraid », etc.) :
dernier victime ou victime dernier ? Dont la mésentente nous diviserons
tant que nous ne prierons pas pour que ce soit le dernier de dernier dans l’histoire
qui n’a p.ê. pas besoin d’autres exemples et métaphore pour com-prendre. En
cela, je ne suis pas si sûre…
Sinon on en
fera un autre « tours de Babel », comme les autres en font autres « sacro-saintétés »,
hélas c’est encore le doubler, multiplier à nos grés en voulant le monopoliser
ou rendre monolithique, substance immuable, monumentale : On n’en sort pas…
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