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07/12/2019

L'Humanité en nus ascendante et descendante...







(Bizdeki: en nous) Çıplak (en nus) İnsanlığın Yükselen ve Alçalan Hareketi...

Desmond Morris dans son livre poulaire intitulé "Animal Nu" signifiait l'état humain qui est considéré seul "nu" en tant que tel
parmi les animaux qui sont également tous non-habillés pourtant. La nudité
n'existe que chez l'homme-animal dès qu'il de déshabille donc, meme quand il
s'agit comme ici métaphoriquement -via "La Marié mise à nue par ses
célibataires decendant les escalières" de Duchamp que nous regardons comme
une interprétation déconstructive du célèbre tableau de Rubins "Le
Débarquement de Marie de Médici au Port de Marseille" (la venue de la
nouvelle Reine de France, plus que "habillée de signes de pouvoir"
-les céléstes et les soumarins "hupohysiques" Sirènes les supportant,
accueillant, etc.).

Humanité avec son
obligation de travailler a transformé pour le meilleurs et pour le pire, ses
deux autres conditions ontologiques: Vie et Langage. Vie différenciée de nos
amis de quatre pattes se ridiculise du point de vue impassible des animaux qui
nous supporte pour un moment donné, quant à notre langage, il ne leur est
interessant que quand  est expressif. La
vie devenue introuvable après le coup
après le coup
(Schlage, schlage
de Trakl) ne garde son écho immémoriale que dans le langage non discoursif, lié
intimement au corps, qui est püre expressivité des "avant goûts" et
d'après-coups", ne pouvant être supporter dans le présence reelle que dans
la poésie, dans la musique captive qui passent au-delà et descendent en-deça de
l'entendement limité par la force improductive du travail aliéné, et cède la
place, en écho à la püre raison (Gemüt,
âme sentante) du speculum mundi qui
-même s'il n'est pas encore arrivé à sauver l'homme de sa pure perdition, est
encore la seule chose (avec “les champs de blé devenus encore en friche”)
capable de la "délivrance"
("paix" au sens de "libération" en Allemand). Ainsi que
Gılgamesh délivre Enkidu du monde de pure perdition et de la mort en chair (du
périr des animaux, cf. Heidegger).
 
La musique au-delà de
sa narration et des livrets des Opéra (sous le coup de la discursivité de la
rhétorique aristotélicien), proche à l'improvisation instrumentale (ars liberalis, Kant) autours des
combinaisons qui complète les douze tons, en treizième recommançante, çomme la
vie de Jesus au bout de trente-trois ans finissant et recommençant en une
nouvelle vie (divine); comme dans l’exemple rituelle de baptème, pour chacun en
sa pure perdition, une seconde vie qui ne serait plus identique bien que la même
avec la première vie de peché, donné comme chance etc. Carré magique de A. Dürer
en dit peut-être plus long. Bref, sans ces spéculations, l'humanité aurait
descendue déjà au plus bas que les animaux qui, eux, savent au moins toujours rester
identiques et fidèles aux desseins de la création: (selon mon rêve qui les
délivre des sacrifices en vain) alléger les maux de l'homme, en se promenant comme
“un faôn du soir” dans nos jardins, offerts à la pure contemplation.
 
Mots clés:
La "paix" (pax) constitue non pas la phonème mais
la sémème (unité sémiotique) commune
entre le  mot "Islam" (paix au
sens de obéidance ou obéissance -"affirmation" ou "se livrer à
Dieu, en se délivrant de..." au sens large) et mot "Frieden" en Allemand (pour dire la
"paix": signifierait seulement "délivrance", libération).

Canon,  "kanun"
(loi et instrument en corde en Turc et en Arab); ces deux homonymes élargissent
la généalogie du concept de loi vers celui l'harmonie (ordre, nizâm, cadance),
donc vers les origines d'une dance commune ("dance de tapis", etc.)

COMMUNAUTE DES
VISIONNAIRES
Fictions
autobiographiques,
l'histoire du présent
et
analyses
phénoménologiques de la vie quotidienne
Enregistrement de 6/7
Décembre 2019

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