Qu’ils reposent aussi en paix les autres justes dans
leurs faussées respectives et respectueuses sans monuments et sans être
monumentalisé, morts en paix, reposent en paix, d’une mort fulgurante… Ceux-ci
et autres pensées mélancoliques viennent à épouser un soir frais d'hiver…
“Der Tod
ist… /Der Got ist…” renvoie à Paul Celan, dont porte le titre mon autre film («
Der Tod ist… ») ; la mort peut venir en fulgurance, de partout donc…
La «
fulgurance » est là un mot clé à côté de « sainteté » (ou
"sublimité"), dont la figure à la fois terne et colorée, ludique de
Père Noël, Saint-Nicolas, tant chéri par le folklore (Folk) germanique, demeure
et repose en paix dans ces terres, parmi ces irrémédiables Auto Fa De
imaginables…
On ne sait
pas pour quelle raison explicite d’ailleurs pourquoi “der Blaue Reiter”, la
peinturé fulgurante de Kandinsky, sans raison apparente m’a tant intrigué,
inspirée et enchantée, et fait entrer même par les "portes sublimes"
de notre parc royal, à Gülhane de mon enfance de ma ville natale (dont les
chênes de plusieurs centenaires sont connues du moins du poème-testament de
Nazim Hikmet) au-devant du Palais de Topkapi, jadis régnant sur les terres et
mers, entre autres, "heilige Anatolia", et l'Arménie qu’il ne faut
pas assimiler aux grecs, parmi les habitants de Byzance, ainsi que les kurdes
et dés tributs turco-mans ‘avant-gardes’ des temps bien avant d’une nouvelle
régence ottomane.
À noter qu'après les restaurations récentes, ce palais
n'a plus le même impact sur moi -02.12.2024.
Database/Ran le 1 février 2020
COMMUNAUTÉ DES VISIONNAIRES
Fictions autobiographiques,
l'histoire du présent et
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