Cynisme, Aujourd'hui

Titre de la chaîne: COMMUNAUTE DES VISIONNAIRES

Fictions autobiographiques,
l'histoire du présent et
analyses phénoménologiques de la vie quotidienne



Sous titre: Métonymies de l'Ombre



Description: Interrogation sur le cynisme radicale et ses "réconcilisations" ou ses "compromis" dans l'histoire de la philosophie et au-delà... Les significations métonymique et non-stables du mot ontologique d' "ombre" avant et depuis Diogène de Sinope.



Enregistrement du 23 août 2017

Arguments implicits
et  passés en revue de la bande sonore du
 film “Cynisme, Aujourd’hui” ou Métonymies de l’Ombre

1-     
D’abord, il devrait y avoir plusieur sortes du
cynisme.

2-     
Cynisme radicale a dû être lié à l’ “incogniscibilité”
des essences (donc plus radicale que le platonisme).

3-     
Socrate aussi fut un cynique précoce ou un
parménidien tardif.

4-     
Cynisme est une recherche sérieuse et asidue,
parfois deçevant et désesperée des “essences” (non plus  ou pas encore déterminé comme “epistémé”)

5-     
Cynisme est la condition préalable de devenir
philosophe (chaque philosophe a dû être cynique au départ ou y rester)

6-     
Cynisme (radicale) n’existe qu’avec sa
disparition ou dispersion dans la “réconciliation”.

7-     
Dans le moment cartésien, le cynisme fut “doute”
(scépticisme), mais  le doute devenue
methodique, fut en fait une réconciliation avec aristotélicisme.

8-     
“Ombre” du célébre dicton “Ne fais pas l’ombre!”
de Diogène signifie d’abord le Tout du monde de visibilité et d’emblée le monde
du souveraine qui ne comporte aucun “doute” pour faire semblant de pouvoir
(pouvoir devenant “effectif” dans les conqûets et les guerres).

9-     
“Devenir Diogène” comme une acte proprement
philosophique n’est pas seulement une acte théorétique, mais par essence et par
pratique politique.

10-  
Il reste à savoir si Diogène fut resté “platonicien”,
ou fut plus radicale que lui, c’est-à-dire s’il niait toute monde de visibilité
(en tant que “ombre” du caverne platonicien) ou seulement ce qui en est l’apothéos
qui est l’insertion (ou l’ingérence épistémé-ontologique) du pouvoir souveraine
comme “ombre”  (déroutant) à la
mise-en-dévoilement (levé de l’ombre: tâche spécifiquement philosophique) de la
vérité (“connaisance” de soi et de chaque chose non pas seulement dans sa
matière, forme et effectivité mais dans sa destinalité finale), etc.